Le régime crétois

Le régime méditerranéen : entre science et bon sens

Introduction

A voir ou à revoir. Le documentaire qui est diffusé sur Arte jusqu'au mois de septembre 2025 Le régime méditerranéen – La recette idéale, offre un éclairage sur une tradition culinaire qui a traversé les siècles… et que la science valide désormais comme l’une des plus protectrices pour la santé.

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Une alimentation validée par la recherche

Ce n’est pas une tendance. C’est un mode de vie, enraciné dans la terre et le bon sens.

Le régime méditerranéen, tel qu’il est étudié depuis les années 1950 (notamment via les études de Keys, PREDIMED ou EPIC), est associé à :

• Une réduction de près de 30 % des maladies cardiovasculaires

• Un risque diminué de certains cancers (sein, côlon)

• Une prévention efficace contre les maladies neurodégénératives (Alzheimer)

• Une longévité accrue

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Le rôle central de l’huile d’olive

Au cœur de cette alimentation ? L’huile d’olive vierge extra.

Pas n’importe laquelle : une huile fraîche, non raffinée, riche en polyphénols, qui protège les cellules contre le stress oxydatif.

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Le défi : préserver cet équilibre

Le documentaire souligne aussi la menace actuelle : l’abandon de ce régime traditionnel au profit de produits industriels.

C’est pour cela que nous continuons à défendre un autre modèle :

• Des cultures à taille humaine

• Une production locale et transparente

• Un retour au goût et à la santé

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Pour aller plus loin

Le documentaire est en accès libre sur Arte jusqu’en septembre 2025 :

https://www.arte.tv/fr/videos/104391-000-A/le-regime-mediterraneen-la-recette-ideale/

ou sur Internet:

https://www.dailymotion.com/video/x8r69fb

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Conclusion :

C’est un portrait convaincant d’un mode d’alimentation ancestral devenu un modèle scientifiquement prouvé pour la prévention des maladies chroniques (cardiovasculaires, cancers, démence), tout en soulignant :

• l’utilité de l’huile d’olive comme pilier nutritionnel,

• la valeur des études épidémiologiques et cliniques,

• et l’importance de préserver ce patrimoine alimentaire avant qu’il ne se transforme en un régime “fast‑food”.